saucevivi

Le silence je ne connais pas. Je pourchasse le bonheur en me langissant des moment où j'oublie. Je reste là complètement hors de moi.Effarée par les souvenirs s'accumulant. Et pendant ce temps loin loin j'effeuille sur le rivage des tes larmes le dernier éditorial d'une époque. Celle qui ne finira pas. Les pieds pendants le long de tes cils épuisés par le flot de mes mots. J'entreprend l'insinuation d'une glissade parallèle à l'apitoiement d'un corps qui n'est plus le mien. De là-haut, je vois troquer la naïveté contre la sagesse et le désir fluctuant de n'être que c

Ton baisé est glacé Autrement qu'autrefois Loin de moi ton visage Ta chaleur dissipée Ton regard est effacé Si près à la fois Changeant avec l'âge Ton corps entremêlé Ta main est passée Au-delà de moi À la différence d'un mirage Ta voix j'entend souffler

Simple, mais délire conscient sous la pâle lueur de la lune jaunâtre...Une teinte possiblement signe d'une pathologie incertaine de ce monde étatique. Tant dirigé qu'on n'en voit plus la splendeur naturelle retrouvée encore à différents endroits qui n'ont pas subit l'exploitation indifférente à la beauté. Autrefois, le respect de l'œuvre terrestre semblait régie par le désir légitime de chacun de vivre. (Lorsque j'emploie le mot chacun, il n'est pas nécessairement question de ce que l'on perçoit comme un être vivant. C'est plutôt une rigourosit&#233